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Aujourd’hui, je vais vous parler de l’une de mes obsessions : le bricolage. Oui, oui, vous avez bien lu, le bricolage. Je suis accro à cette activité depuis des années. J’ai commencé à m’y intéresser lorsque j’étais adolescent. J’aidais mon père, eh oui, encore lui ! à rénover notre maison familiale et celle de mon arrière-grand-père, souvent avec des bouts de ficelle. Je ne suis pas un bon bricoleur. J’ai un souci avec les finitions, même si j’ai fait des progrès de ce point de vue.

Mais ce que j’aime encore d’avantage, ce sont les magasins de bricolage… pas les grandes surfaces, mais les enseignes spécialisées. Celles réservées aux « pros », où l’on trouve des forets à béton de plus d’un mètre de long et de plus de 40 cm de diamètre, ou des sertisseuses à pression automatiques.

J’y ai souvent fait des folies dans ces lieux. Au fil des années, j’ai accumulé tellement d’outils et de pièces de toutes sortes que je pourrais rivaliser avec le rayon d’un magasin de bricolage. Et devinez quoi ? Certains de ces outils n’ont jamais été utilisés ! C’est un peu comme si j’avais une collection d’objets inutiles, mais qui me procurent une satisfaction immense rien que par leur simple présence dans mon atelier.

Une passion délirante qui a un coût. Qui aurait cru que le bricolage pouvait pousser quelqu’un à se ruiner ? Mais bon, peu importe les conséquences financières, car pour moi, rien ne vaut une scie à onglet professionnelle. C’est le Graal de tout bricoleur qui se respecte.

Cette scie à onglet, c’est bien plus qu’un simple outil. C’est mon partenaire de crime, l’acolyte de mes projets les plus fous. Grâce à elle, et à plein d’autres outils de ce type, je peux imaginer et donner vie à mes idées les plus farfelues. Et je vous assure, voir mes créations prendre forme, c’est une satisfaction qui n’a pas de prix.

Certains pourraient penser que je suis complètement cinglé, ils n’auraient pas totalement tort. Mais pour moi, le bricolage est un échappatoire, un moyen de me détendre et de laisser libre cours à ma créativité. Les magasins de bricolage sont également devenus un refuge où je me sens à ma place, entouré de boulons et de vis… Ma thérapie lorsque je ne vais pas bien… un peu comme les boulimiques quand ils ouvrent leur armoire ou le réfrigérateur.

Cette obsession a aussi eu des conséquences financières. J’ai dû faire des choix déchirants entre un dîner romantique et l’achat d’un nouvel outil. Et devinez quoi ? J’ai souvent choisi l’outil.

Certains diront que je suis accro, que cette passion est devenue une maladie incurable. Mais vous savez quoi ? Je m’en fiche ! Le bricolage fait partie intégrante de moi-même, de mon identité. C’est ma façon de m’épanouir et de me sentir vivant. Alors tant que je pourrai continuer à nourrir cette passion délirante, j’investirai dans ces outils qui me font tant rêver.

Alors voilà, vous savez tout sur ma petite folie bricoleuse. Peut-être que ça vous paraît grave, mais pour moi, c’est l’une de ces petites choses qui me rendent heureux. Alors, laissez-moi rêver, créer, réparer, bricoler, souder, coller et promis, je ferai attention à mon compte en banque. Enfin, peut-être…

Et vous, êtes-vous passionné(e) de bricolage ? Quels sont les avantages que vous en retirez ? Dites-moi tout dans les commentaires !

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